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La Commission européenne

Direction générale de l’action pour le climat, DG CLIMA
DG CLIMA est à la tête des efforts consentis par la Commission européenne pour lutter contre le changement climatique au niveau européen et international.
Direction générale de l’énergie, DG ENER
Le service DG ENER assure la politique énergétique de l’UE pour un approvisionnement énergétique sécuritaire, durable et à des prix compétitifs.
Direction générale de voisinage et des négociations d’élargissement, DG NEAR
La mission de DG NEAR consiste à permettre au voisinage et aux politiques d’élargissement de l’Union européenne d’aller de l’avant, mais aussi de coordonner les relations avec les pays de l’EEE/AELE, dans la mesure où les politiques de la Commission sont concernées.
Direction générale de la Coopération internationale et Développement, DG DEVCO
La DG DEVCO a pour mandat de concevoir la politique européenne de coopération internationale et de développement et l’acheminement de l’aide dans le monde entier.

La Politique européenne de voisinage (PEV)

La Politique européenne de voisinage (PEV) de l’Union européenne vise à rapprocher l’Europe de ses voisins, dans leur intérêt mutuel.

La Politique européenne de voisinage régit les relations de l’UE avec 16 de ses plus proches voisins de l’est et du sud. Ceux du sud : Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc, Palestine*, Syrie** et Tunisie ; et ceux de l’est : Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Géorgie, Moldavie et Ukraine (la Russie participe à des activités de coopération transfrontalière dans le cadre de la PEV, mais n’est pas partie prenante à la politique en tant que telle).

L’accent sur la stabilisation
La stabilisation de la région sur les plans politique, socio-économique et de la sécurité est au cœur de la Politique de voisinage de l’UE. L’UE s’engage à soutenir le développement économique de ses pays partenaires et à améliorer les aspirations, les espoirs et les perspectives de la population locale, tout en continuant à insister sur la bonne gouvernance, la démocratie et l’État de droit.

Un partenariat souple et sur mesure
La différenciation et l’appropriation mutuelle sont deux principes fondamentaux de la Politique de voisinage de l’UE. Cette approche prend en compte les diverses aspirations des États membres dans le développement de leurs relations avec l’UE. L’UE et les pays fixent ensemble les priorités de leur partenariat, en concentrant chaque relation sur des intérêts communs.

Les secteurs
La PEV propose quatre domaines prioritaires : la bonne gouvernance, visant à favoriser une société juste, inclusive et stable, dans le respect maximal des droits de l’homme et de l’espace pour la société civile ; le développement économique et social, notamment la création de possibilités d’emplois pour les jeunes, en tant que mesure clé pour la stabilisation économique dans la région ; la coopération dans le secteur de la sécurité, principalement dans les domaines de la prévention des conflits, de la lutte contre le terrorisme et de la lutte contre la radicalisation ; la migration et la mobilité, qui porte sur la mobilité, d’une part, et la migration irrégulière, la traite et le trafic d’êtres humains, d’autre part. Enfin, une attention particulière est également accordée à la sécurité énergétique et à l’action pour le climat.

Le financement
La Politique européenne de voisinage est financée par l’Instrument européen de voisinage et de partenariat (IEVP), qui lui a alloué une enveloppe de plus de 15 milliards d’euros pour la période 2014-2020.
La majeure partie de ce financement sert à la coopération bilatérale, qui est adaptée aux besoins spécifiques de chaque pays partenaire et basée sur les priorités de partenariat ou programmes d’association convenus formant le cadre de l’engagement politique et de la coopération.

L’engagement régional
La Politique européenne de voisinage soutient plusieurs initiatives de coopération régionale : le Partenariat oriental, l’Union pour la Méditerranée (UpM) et la Coopération transfrontalière.

* Cette désignation ne saurait être interprétée comme une reconnaissance d’un État de Palestine et est sans préjudice de la position de chaque État membre sur cette question.
** L’UE a suspendu sa coopération bilatérale avec le gouvernement syrien ainsi que sa participation aux programmes régionaux en 2011.

Voir le site web de la PEV

CCR

En tant que service scientifique et de savoir de la Commission européenne, le Centre commun de recherche (CCR) soutient les politiques de l’Union européenne (UE) avec l’appui de conclusions établies scientifiquement et de manière indépendante tout au long du cycle d’élaboration des politiques. Le CCR élabore, gère et renforce la pertinence des connaissances tout en développant des outils innovants à la disposition des décideurs.

Le Centre collabore avec plus de mille organisations dans le monde entier, les scientifiques qui en font partie ont accès à de nombreuses installations du CCR par le biais de nombreux accords de collaboration. Grâce au fruit de ses recherches, le travail du CCR a un impact direct sur la vie des citoyens en contribuant à créer un environnement sain et sécuritaire, à lutter contre le changement climatique, à assurer les approvisionnements d’énergie, la mobilité durable, mais aussi la santé et la sécurité des consommateurs.

Le CCR compte six implantations dans cinq pays de l’UE (Bruxelles, Geel, Ispra, Karlsruhe, Petten, Séville).

Accéder au site web du CCR

UpM

L’Union pour la Méditerranée (UpM) est une organisation euro-méditerranéenne intergouvernementale réunissant les 28 pays de l’Union européenne et les 15 pays du Sud et de l’Est de la Méditerranée. Sa mission première consiste à renforcer la coopération et le dialogue régional et à promouvoir la mise en œuvre de projets régionaux sur le terrain ayant un impact direct sur nos citoyens, en particulier les jeunes, autour des trois priorités stratégiques de la Méditerranée : le développement humain, la stabilité et l’intégration régionale.
Du fait de sa composition géographique, de sa gouvernance institutionnelle et de sa méthodologie de travail, l’UpM est l’organisation idéale pour intégrer aussi bien les priorités de l’UE, telles qu’elles sont reflétées dans le réexamen de la PEV et la stratégie globale de la politique étrangère et de la sécurité, que celles des pays du Sud et de l’Est de la Méditerranée.

Accéder au site web de l’UpM

Convention des maires pour le climat et l’énergie

La Convention des maires est le plus important mouvement mondial sur le plan des actions locales en faveur de l’énergie et du climat. La convention européenne des maires pour le climat et l’énergie rassemble des milliers de collectivités locales engagées, sur une base volontaire, à mettre en œuvre les objectifs de l’UE en matière de climat et d’énergie. La Convention des maires a été lancée en 2008 en Europe avec l’ambition de rassembler les autorités locales volontairement engagées à atteindre et même à dépasser les objectifs de l’UE en matière de climat et d’énergie.

L’initiative rassemble aujourd’hui plus de 7 700 collectivités locales et régionales de 57 pays en tirant parti des atouts d’un mouvement mondial aux multiples parties prenantes et à l’appui technique et méthodologique, proposé par des bureaux spécialisés. Les villes signataires s’engagent à prendre des mesures pour soutenir la mise en œuvre de l’objectif européen de réduction des gaz à effet de serre de 40 % d’ici 2030 et l’adoption d’une approche conjointe pour s’attaquer aux mesures d’adaptation au changement climatique et d’atténuation de ses effets.

Afin de traduire leur engagement politique en mesures et projets concrets, les signataires de la Convention s’engagent à soumettre, dans les deux ans qui suivent la date de la décision du Conseil local, un plan d’action en faveur de l’énergie durable et du climat (PAEDC) décrivant les principales actions qu’ils ont l’intention d’entreprendre.

Accéder au site internet de la CdM.

La Convention mondiale des maires pour le climat et l’énergie

La convention mondiale des maires pour le climat et l’énergie est une alliance internationale des villes et des gouvernements locaux qui partagent une vision à long terme de promotion et de soutien aux démarches volontaires dans la lutte contre les changements climatiques et la transition vers une société résiliente, à faible émission de carbone.

La convention mondiale des maires œuvre à organiser et à mobiliser des villes et des gouvernements locaux afin qu’ils puissent contribuer activement à trouver des solutions mondiales aux enjeux climatiques.

Les réseaux locaux, régionaux et mondiaux de villes sont les principaux partenaires de la Convention mondiale des maires ; à ce titre, ils servent de support principal pour les villes et les gouvernements locaux qui y prennent part.

En se concentrant sur les secteurs où les villes ont l’impact le plus marqué, la convention mondiale des maires encourage le développement de solutions ambitieuses, pertinentes pour les localités et mises en œuvre par le biais de plans d’action stratégiques déclarés, mesurés et contrôlés, mais aussi accessibles au grand public.

La convention mondiale des maires souligne l’importance de l’atténuation des effets du changement climatique et l’adaptation à ses effets, ainsi que l’amélioration de l’accès à des services énergétiques propres, à un coût abordable.

Accéder au site internet de la CdM.

La Convention des maires pour l’Afrique subsaharienne – CoM SSA

La Convention des maires pour l’Afrique subsaharienne (CoM SSA) est une initiative financée par l’Union européenne (UE) pour soutenir les villes d’Afrique subsaharienne dans leur lutte contre le changement climatique par le biais d’un engagement volontaire. Il s’agit d’une initiative ascendante qui permet aux villes de définir et d’atteindre des objectifs ambitieux et réalistes qu’elles ont fixés elles-mêmes conformément à la méthodologie de la convention. CoM SSA est ouvert à toutes les villes d’Afrique subsaharienne, quelle que soit leur taille.

Accéder au site internet de la CoM SSA.

Membres du comité de pilotage

Cités et Gouvernements Locaux Unis

Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) représente et défend les intérêts des gouvernements locaux et régionaux sur la scène mondiale, quelle que soit la taille des collectivités qu’ils desservent. La mission officielle de l’organisation est la suivante : «Être la voix unifiée et le défenseur mondial de l’autonomie gouvernementale locale démocratique, en assurant la promotion de ses valeurs, de ses objectifs et de ses intérêts, par la voie de la coopération entre les gouvernements locaux, comme au sein de la communauté internationale.»

CGLU s’est dotée d’un plan d’action ciblé, qui s’articule autour de ces grands axes : accroître la place et l’influence des gouvernements locaux et de leurs associations dans la gouvernance mondiale ; faire de CGLU la principale source d’appui pour renforcer l’efficacité et l’innovation des gouvernements locaux au plus proche des citoyens ; faire de CGLU une organisation globale efficace et démocratique.

Cités et Gouvernements Locaux Unis soutient la coopération internationale entre les villes et leurs associations tout en facilitant la mise en place de programmes, de réseaux et de partenariats afin de renforcer les capacités des gouvernements locaux. L’Organisation promeut le rôle des femmes dans le processus décisionnel des localités et offre un accès privilégié aux données sur la gouvernance locale dans le monde entier.

Accéder au site web du CGLU

La BEI

La Banque européenne d’investissement (BEI) est l’institution de financement de l’Union européenne. Elle est le premier prêteur multilatéral et le principal bailleur de fonds de l’action en faveur du climat dans le monde. Le Groupe BEI est composé de deux entités : la Banque européenne d’investissement et le Fonds européen d’investissement ; il compte plus de 60 ans d’expérience et de savoir-faire en matière de financement de projets.

La Banque européenne d’investissement met l’accent sur quatre domaines : l’innovation et les compétences, les petites entreprises, les infrastructures ainsi que le climat et l’environnement. Tous les projets financés par la BEI doivent non seulement être bancables, mais aussi respecter de rigoureuses normes techniques, environnementales et sociales. Le savoir-faire combiné de ses économistes, ingénieurs, analystes financiers et spécialistes du climat garantit la réussite des projets qu’elle soutient.

Pour faire face aux priorités de notre temps, l’action de la BEI dépasse les frontières de l’UE. Ainsi, l’initiative Résilience économique, mise en place par la BEI, permet une augmentation des financements en faveur des pays voisins du Sud et des Balkans occidentaux, notamment dans le contexte du défi que représentent les migrations.

En tant que banque de l’UE, la BEI a inscrit l’action pour le climat au rang de ses grandes priorités et est aujourd’hui le premier bailleur de fonds multilatéral au monde pour le financement de l’action climatique. La BEI consacre plus de 25 % du total de ses financements à l’atténuation des changements climatiques et à l’adaptation à leurs effets. Concernant les investissements dans les pays en développement, ce chiffre atteindra 35 % d’ici 2020. Pendant la période comprise entre 2016 et 2020, la BEI consacre 100 milliards d’USD à des projets liés au climat pour aider à faire en sorte que l’accord ambitieux approuvé à la conférence de Paris (COP 21) devienne réalité.

Voir le site Web de la BEI

The World Bank

La Banque mondiale est une source essentielle d’appui financier et technique pour les pays en développement du monde entier. Il ne s’agit pas d’une banque au sens habituel du terme, mais d’un partenariat sans équivalent voué à réduire la pauvreté et à appuyer le développement.

Avec 189 États membres et plus de 130 antennes à travers le monde, le Groupe de la Banque mondiale est un partenariat mondial unique : cinq institutions œuvrant de concert à la recherche de solutions durables pour réduire la pauvreté et favoriser le partage de la prospérité dans les pays en voie de développement : la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), l’Association internationale de développement (IDA), la Société financière internationale (IFC), l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) et le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).

La Banque mondiale accorde des prêts à faible taux d’intérêt, des crédits à taux zéro ou à faible taux d’intérêt et des subventions aux pays en développement. Ces fonds soutiennent un large éventail d’investissements dans des domaines tels que l’éducation, la santé, l’administration publique, les infrastructures, le développement des secteurs financier et privé, l’agriculture et la gestion de l’environnement et des ressources naturelles. Certains de ces projets sont cofinancés avec des gouvernements, d’autres institutions multilatérales, des banques commerciales, des organismes de crédit à l’exportation et des investisseurs du secteur privé.

Voir le site Web de la Banque mondiale

L’AFD

Le groupe Agence française de développement (AFD) finance, accompagne et accélère les transitions vers un monde plus juste et durable et s’engage à financer et à apporter une assistance technique à des projets qui améliorent réellement la vie quotidienne, aussi bien dans les pays en voie de développement que dans les pays émergents, ainsi que dans les provinces françaises d’outre-mer.

Conformément aux objectifs de développement durable des Nations Unies, l’AFD intervient dans de nombreux secteurs — énergie, santé, biodiversité, eau, technologies numériques, formation professionnelle, entre autres — afin d’accompagner les transitions vers un monde plus sûr, plus équitable et plus durable : un monde en commun.
Grâce à un réseau de 85 antennes sur le terrain, elle finance, suit et aide actuellement plus de 2 500 projets de développement dans 108 pays.

La stratégie de l’AFD repose sur une vision, celle « d’un monde en commun », et cinq engagements fondamentaux qui sous-tendent l’ensemble des actions : 100 % Accord de Paris, 100 % lien social, le développement en 3D, la priorité aux acteurs non souverains et un réflexe partenarial.

Pour l’AFD, accompagner des projets durables qui aient de forts impacts pour les populations passe par la confrontation des résultats aux jugements et aux avis de l’ensemble des parties prenantes. Informer, dialoguer et répondre sont donc parmi les piliers de la politique de transparence de notre Groupe.

Voir le site Web de l’AFD

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